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Mon camarade Léon

Léon , accompagné de sa femme unipare étaient partis à la recherche d’attapulgites. Une immense forêt de bétulacées se présentait devant eux. Léon remarquait immédiatement les plantes ubiquistes.

-Peut-être, pourrions nous les utiliser pour confectionner quelques festons ! Suggéra t-il!

-Certainement pas répliqua sa douce aimée dont le trismus dévoilait sa gourmandise.

Armé d’un égrugeoir nos foutriquets à la démarche vasouillante s’aventurèrent dans la strate arborescente.

Pour éviter de se grafiner léon émonda quelques feuillus. C’est à cet instant qu’il découvrit des khats. Sans vaticiner sa mie lui fit remarquer d’un mot trirène qu’une attitude beylismique devait être de rigueur.

Au loin une locustelle à l’air moqueur s’engagea dans une bharatanatya du plus bel effet.

Malgré tout, ils décidèrent d’ingérer leur découverte.

Immédiatement des troubles psychosensoriels se déclarèrent. Léon fut pris de césaropapisme, alors que sa compagne conspua sur les injonctions naturelles.

C’est hilares et affublés d’un visage purpurin que nos deux passéistes retournèrent dans leur bercail.